La programmation
11 juillet, aux Tourettes :
Les Barbeaux
Les Barbeaux, cinq saltimbanques aux origines méditerranéennes, voyagent ensemble depuisdix ans, avec plus de 600 concerts en France et en Europe, et viennent de sortir leur cinquième album. Tantôt en français, tantôt en espagnol, ils assument leur double culture servie par un humour grinçant, des paroles de poids, un violon balkanique virevoltant, un accordéon enivrant.
12 Juillet, à Ancône :
Soneros Del Caribes
Le groupe Sonoros Del caribe propose une interprétation traditionnelle et authentique du son cubain , tout en réinventant ce genre musicale à travers des arrangements plus modernes. Formées il y'a plus de 10 ans, Soneros Del Caribe se. compose de musiciens, tous présents sur scène depuis plus d'une dizaine d'années.
Soneros del caribe offre également de très belles reprises des "classiques" : Buena Vista social Club, Ismael Ribera, Ibrhain ferre, Flia Valera Miranda et aussi sespropores compositions.
Le groupe vous entraîne à travers les îles chaleureuses de la Caraibe, recréant ainsi un moment de fête inoubliable et de partage.
16 juillet, à Bonlieu sur Roubion :
The Hillockers
The HILLOCKERS est né en Avril 2017, sur une petite colline Française. Grandement inspirés par Hank Williams, Johnny Cash, Leadbelly....The HILLOCKERS vous emmènent dans leur univers rockabilly, folk, rock n'roll. Leur musique est un appel à la danse et surtout à la fête !!!! Let's rock !!!
17 Juillet, à Puygiron :
Ina Forsman
Ina forsman est une chanteuse et compositrice finlandaise basé à Helsinki. Avec un puissant contralto expressif elle écrit et exécute des chansons qui croisent blues, jazz, gospel et R&B. Son phrasé sillonne le terrain qui englobe les influences de Rickie Lee Jones, Nina Simone et Billie Holiday. Elle peut composer une chanson avec un gémissement truffé, dynamique ou un coron glissant, vrillé subtil.
18 juillet, à Cléon d'Andran :
Princess Erika (Guest)
Erika Dobong'na est née en 1964 à Paris, elle est issue d'une famille originaire du Cameroun où son grand-père était chef coutumier. Après avoir appris le solfège et le piano au conservatoire, Princess Erika forme en 1982 le groupe Blackheart Daughters avec ses soeurs . Princess Erika se passionne ensuite pour le reggae et le raggamuffin et tourne en première partie de Dennis Brown.
La chanteuse se spécialise ensuite dans les duos avec Rita Mitsouko (1995), Marc Lavoine (1997), ou participe aux Enfoirés. Princess Erika écrit aussi pour d'autres artistes, notamment le duo Les Nubians.
Son amour du reggae et de la chanson reste le plus fort comme le montre Juste Erika en 2011, réalisé sur son propre label. Princess Erika y exprime de nouveau son talent d'écriture et ses qualités vocales, seule ou avec des amies comme Nina Morato et Marjorie Savino.
19 juillet, à Châteauneuf du Rhône :
Les vagabonds (Guest)
Ted Sanders (chant), Jean-Pierre (contrebasse), Dany (batterie) et Jess (guitare) unissent leurs forces en 1989 pour former le groupe Les Vagabonds. Réunis par leur amour du rock 60’s, de la période yéyé et d’Elvis Presley, les quatre musiciens connaissent une première année difficile avant d’être repérés par Orlando, frère et producteur de Dalida. Ce dernier écoute la maquette « Le Temps des Yéyés », un medley hommage aux années 60. Il flaire le bon coup et lance le groupe avec l’espoir de réitérer le succès des Forbans dans les années 80.
20 juillet, à Condillac :
The High Reeds
Portés par leurs racines Africaines, Corses et Caribéennes, The high reeDs soufflent un vent nouveau sur les musiques du monde et font naître le blue reggae, un groove Jamaïcain coloré par deux voix s’envolant sur un tapis roots, soul & blues.
Ce quatuor taillé pour la scène offre un nouveau visage au métissage artistique, porté par le chant soul Anglophone du leaderChristophe rigaud, dont les racines Corses imprègnent une voix au grain immédiatement reconnaissable. A ses côtés, Yao Diéfait vivre son jeu de basse épais et puissant, maîtrisant l’art d’un chant emprunt d’une densité Jamaïcaine, remontant jusqu’aux traditions du peuple Baoulé de Côte d’Ivoire. A la batterie, Djo Toussaint amène une frappe précise et massive s’inspirant des percussions et traditions du “Gwo Ka” et apporte une touche vocale Caribéenne inspirée de ses années de leader au sein du groupe Pawolka. Enfin, Franck «Djedi » Alibar donne vie à ses claviers, habité par une fougue en ébullition subtile à la frontière entre ses racines Guadeloupéennes, et ses inspirations reggae, salsa, jazz et blues. Tous les quatre amènent cette nouvelle vibration musicale dans une énergie live rock, faisant vivre au public un moment suspendu dans le temps comme une histoire, une invitation à la danse et au partage, un voyage à la fois méditatif et dansant.
22 juillet, à La coucourde :
Jo Ruffier
Jo « stick » Ruffier des Aimes démarre l’aventure des Négresses Vertes en 1987 jusqu’en 1993, sousle pseudo de
Jo Roz.
Il a notamment coécrit l’album « Famille nombreuse », devenu un album classique du rock français, puis a travaillé sur les arrangements de « Mlah », il a participé aux tournées nationales et internationales du groupe.Il est l'un des rares musiciens en France à pratiquer le Stick Chapman, né en 1969 de l’imagination d’un luthier californien, et participe tous les ans au Festival International du Stick et de la tape Guitare à Trentemoult (Nantes). Aujourd’hui, Jo se lance en solo, et propose son nouvel album « Fragile » réalisé, enregistré et mixé par Yves Aouizérate pour LeBunker Studio, Jo Ruffier des Aimes interprète ses compositions aux sonorités uniques, un mélange doux et puissant de funk et de soul pimenté de groove, avec son stick, il donne son point de vue sur le monde, aux influences variées, de George Clinton à Danny Elfman en passant par Memphis, Dakar et sa banlieue natale, à Bob Marley qu'il revisite à la croisée des chemins.
23 juillet, à La Battie Rolland :
Harrison Swing
Tout démarre par la rencontre entre Maël Dagorne et Brieuc Largy, il y a environ 8 ans. Guitariste et saxophoniste donnant aussi de la voix, ils veulentvivre de leur art et partent sur les routes de Bretagne. Leur répertoire s’inscritdans la chanson française, passant par Brel, Brassens, mais aussi Dick Annegarn. Ils y intègrent leurs propres compositions. Le duo prend le nom deMaëlito et sort un album en autoproduction, Demain j’arrête. Titre prémonitoire, puisqu’ils vont se tourner rapidement vers le jazz manouche.«Un vrai coup de cœur pour moi. J’en buvais comme du petit-lait», évoque Brieuc.
24 juillet, à Saint Gervais sur Roubion :
Route des Airs
Bercé par de multiples influences, le groupe dévoile une chanson française festive et rythmée à souhait, qui laisse transparaître une belle maîtrise dans le travail de composition.
Riffs électrique bien amenés, soupçon de «trad» et un swing» très présent sur la plupart de leurs chansons, parfois avec desambiances plus intimistes. Les orchestrations varient au gré des humeurs portées par les histoires de monsieur «tout-le-monde» contés avec humour, tendresse et autodérision. Bref, tous les éléments sont réunis pour passer un bon moment.
25 juillet, à Charols :
Sarah MacCoy
Utilisant sa formation musicale et théâtrale pour construire un environnement riche, Sarah McCoy frappe le piano comme le début des temps et chante avec la délicatesse de la poussière d'étoiles. Ses paroles effrayantes vous guideront à travers son cœur hanté et vous guideront à travers ses pensées et ses désirs intérieurs les plus sombres. Avec une bouche comme un canon et une voix comme le tonnerre du Bayou, McCoy transmet son message puissamment aux oreilles et au cœur de ses auditeurs avec une profonde conviction et une espérance rénovée.
A travers sa voix parsemée des influences vocales d'artistes comme Amy Winehouse, Tom Waits, Billie Holliday et Fiona Apple, vous pouvez également sentir les impressions classiques de Satie et Rachmaninoff ainsi que le zeste de Kurt Weil dans l'œuvre de piano de McCoy.
26 Juillet, à Sauzet :
Charlotte Grace
L’histoire commence tout naturellement. Charlotte G. Wacker, auteure-compositrice-interprète et Keni Arifi compositeur-guitariste et producteur, se rencontrent au KAmusic studio à Montreux (Décal’quai).
27 juillet, à Montélimar :
Sanseverino (Guest)
Grand retour au blues électrique gorgé de guitares ! Sanseverino n’a rien perdu de sa plume pour décrire sur un ton humoristique décalé des tranches de vie autobiographiques ou presque. On y découvre ses passions ( le vélo) , ses coups de gueule, ses réflexions sur la société qui nous entoure baignés dans un rock'n roll blues dynamique et entrainant Inspiré par la musique tsigane, le jazz manouche et les musiques électriques des années 40 et 50 de Django a Zappa Stéphane Sanseverino fait depuis 20 ans des propositions à la fois loufoques et virtuoses, à l’image de son dernier spectacle Papillon, « karaoké littéraire » racontant les évasions à répétition d’un bagnard de Cayenne sur des airs bluegrass. Passant du swing manouche au rock et au blues avec aisance, il couvre à travers ses albums des décennies de musique et d’influences, toujours avec virtuosité et justesse.
30 juillet, à Savasse :
Marcus Gad
Né sur les terres multi-culturelles de Nouvelle Calédonie, Marcus Gad délivre un puissant message d'amour inconditionnel, d'humilité et de dévouement porté par un reggae aussi spirituel qu'universel.
Un son résolument roots dans lequel on retrouve des influences des musiques du monde.
Au delà de ses références artistiques (Burning Spear, Midnite, Twinkle Brothers etc...), ce sont ses nombreux voyages sur tout les continents, près de 4 ans sur les routes à la rencontre des peuples et des sociétés natives ou alternatives du monde, qui ont nourri son inspiration et donné une dimension universelle à son message.
31 juillet, à Porte en Valdaine :
Churchffiters
Installé depuis 1993 en Bretagne, The Churchfitters est l'un des groupes les plus inspirés de la scène celtique. Le spectacle festif et bourré d'énergie de ce quartet réunit les rythmes de la Pop et du Rock avec l'irrésistible joie de vivre de la musique traditionnelle. Trois voix époustouflantes et la maîtrise de nombreux instruments (violon, guitare, bouzouki, contrebasse, flûte, scie musicale, banjo, dulcimer, mandoline, ukulélé, saxophone, ...) leur donnent un son d'une richesse impressionnante qui s'exprime dans un programme varié de chansons et de mélodies d'Irlande, d'Ecosse, d'Angleterre, du Québec, d'Amérique ainsi que dans leurs propres compositions.
Avec leurs personnalités flamboyantes et un sens de l'humour contagieux, les Churchfitters invitent leur public à un voyage initiatique au cœur du monde celtique. Impossible de s'empêcher de taper du pied le long de leurs instrumentaux frénétiques ou d'être transporté sur les vagues de l'émotion crée par leurs somptueuses ballades de toute beauté.
Laissez-vous guider par les Churchfitters, au détour d'un chemin il est des rencontres que l'on ne regrette jamais.